Notre sanctuaire Humane World for Animals, Black Beauty Ranch, abrite des singes incroyables. Rencontrez-les et envisagez de faire un don par le biais de notre Journée des dons pour les aider à soutenir leurs soins tout au long de la vie !
Notre sanctuaire Humane World for Animals, Black Beauty Ranch, abrite des singes incroyables. Rencontrez-les et envisagez de faire un don par le biais de notre Journée des dons pour les aider à soutenir leurs soins tout au long de la vie !
Le gouvernement a publié ce mardi deux arrêtés au Journal officiel autorisant la capture d’alouettes des champs à l’aide de filets pour la saison 2025-2026. Cette pratique, connue sous le nom de chasse aux « pantes », est désormais encadrée dans quatre départements du Sud-Ouest.
Pourtant, pendant les 7 000 ans précédant cette époque, la taille des animaux domestiques et sauvages évoluait de manière synchrone et analogue, suggérant que les changements environnementaux et climatiques influençaient alors davantage cette évolution morphologique.
Nous savons que les refuges sont confrontés à des situations complexes, parfois dangereuses, et qu’ils agissent souvent dans l’urgence avec des moyens limités.
C’est officiel : l’abattoir de Porto-Vecchio a suspendu toute activité. Plus aucun animal n’y est abattu.
Le 6 septembre 2025, une opération de sauvetage peu ordinaire se déroulera à Blosseville, près de Veules-les-Roses. Mille poules de race Lohmann, issues d’un élevage de pondeuses, attendent une seconde chance qui leur éviterait l’abattoir.
En plus d’avoir maintenu en captivité ces animaux, dont plusieurs ont été saisis dans un état préoccupant, ils sont accusés d’avoir procédé à des captures dans la nature, notamment à l’aide de gluaux, ou encore d’avoir relâché des individus d’espèces exotiques envahissantes.
Grégory Moreau, adjoint à la mairie Paris 11 et élu du Parti animaliste, est allé à la rencontre des Parisiens avec Plume, une petite rate perchée sur son épaule. Objectif : dédiaboliser cet animal, souvent réduit à une image négative.
Makali est arrivé à Lola ya Bonobo le 28 février 2004, en compagnie de trois autres bonobos – Etumbe, Tshilomba et Keza – transférés de l’Institut National de Recherche Biomédicale de Kinshasa. Leur arrivée fut un moment marquant de l’histoire du sanctuaire : un enclos entier, l’enclos 3, avait été construit spécialement pour eux.
Soutenus par d’autres associations et par le parti animaliste, ces défenseurs des animaux souhaitent à terme qu’une proposition de loi soit faite pour interdire systématiquement la chasse après les incendies.