Cette fois, pas d’actions spectaculaires ou de vidéos chocs pour dénoncer l’élevage intensif. Pas de caméra cachée dans un hangar sombre, mais des tas de cartes postales colorées. À Lille, comme dans 33 autres villes, l’association de défense des animaux, L214, a troqué l’indignation brutale contre une correspondance presque désuète : la carte postale.
