Samedi 15 novembre • 09 – Laroque-d’Olmes | 12h à 15h COMPLET• 65 – Rabastens de Bigorre | 10h à 13h• 81 – Gaillac | 10h à 12h Samedi 22 novembre • 31 – Ardiège | 10h à
Samedi 15 novembre • 09 – Laroque-d’Olmes | 12h à 15h COMPLET• 65 – Rabastens de Bigorre | 10h à 13h• 81 – Gaillac | 10h à 12h Samedi 22 novembre • 31 – Ardiège | 10h à
A l’occasion de la sortie de son nouveau livre « Par effraction. Rendre visible la question animale » (Stock/ Philosophie Magazine), Réjane Sénac, directrice de recherche CNRS au CEVIPOF a réuni le 30 septembre à Sciences Po les acteurs, militants, représentants du mouvement animaliste, pour une rencontre/débat
Ce chiffre, comptabilisé sur environ la moitié de l’année budgétaire japonaise entamée en avril, représente « le bilan le plus lourd depuis 2006, année du lancement des statistiques », et dépasse celui de cinq victimes enregistrées pour 2023-24, a indiqué le responsable à l’AFP.
Dans le cadre du projet Emergent’Sea, les scientifiques ont analysé plus de 11.300 résultats issus de prélèvements, réalisés entre 2021 et 2023, de la Baie de Somme à la Corse, dans des mollusques (huîtres, moules) ou dans l’eau de mer.
Une fuite partielle du programme de travail de la Commission européenne, publiée dans les médias bruxellois, ne mentionne pas la mise à jour attendue depuis longtemps de la législation européenne sur le bien-être animal, qui était concrètement prévue et dont la mise en œuvre était promise d’ici la fin de 2026.
Mise au point à la suite des feux de brousse dévastateurs de « l’été noir » 2019-2020, cette formation décisive vise à préparer les professionnels du sauvetage d’animaux sauvages à mieux affronter les feux de brousse à venir.
L’Ukraine étant l’un des principaux exportateurs de produits animaux vers l’UE, il s’agit d’un engagement renouvelé en faveur de l’amélioration des conditions de vie de millions d’animaux d’élevage.
Les frères et sœurs partagent leurs parents, leur enfance, et leurs secrets. Ce dernier point est particulièrement vrai chez une espèce d’oiseaux qu’on est toujours ravi d’apercevoir dans notre jardin : les mésanges charbonnières.
L’arrêté du 17 mars 2022, qui autorisait des abattages de bouquetins sans test sanitaire préalable pour la période 2022-2030, et prévoyait 20 tirs chaque année jusqu’en 2030 est donc annulé une fois pour toutes : le préfet de Haute-Savoie perd tout droit de relancer les tirs prévus.
Cependant, en dépit de l’urgence invoquée pour justifier ce classement ESOD et ces abattages massifs, l’absence flagrante de deux éléments fondamentaux rend ce projet non seulement disproportionné, mais potentiellement écologiquement irresponsable : l’absence d’études scientifiques sérieuses et l’ignorance totale du rôle de la prédation naturelle par le loup.