Les fourrières, ces services publics chargés de « nettoyer » nos rues des animaux errants, assignés à la ligne budgétaire municipale de la « gestion des déchets »… Depuis plusieurs années, nous enquêtons. Toutes ont un point commun. La destination finale des chats et chiens non recueillis par les associations déjà submergées : la mort au bout du couloir. Mais avant ça, le chemin est ponctué de beaucoup de souffrances.
