Par notre première salve de recours, le tribunal de Clermont-Ferrand vient de mettre un coup d’arrêt sur les périodes complémentaires dans l’Allier. Un signal fort qui n’a pas été suivi pour les départements voisins auvergnats.

Par notre première salve de recours, le tribunal de Clermont-Ferrand vient de mettre un coup d’arrêt sur les périodes complémentaires dans l’Allier. Un signal fort qui n’a pas été suivi pour les départements voisins auvergnats.
Jeudi 15 mai, c’était la Journée mondiale du blaireau, une initiative des associations de protection animale pour dénoncer la cruauté de la chasse aux blaireaux. Cette pratique, connue aussi sous le nom de « vénerie sous terre », est légale en France. Notre pays est d’ailleurs l’un des derniers pays européens à l’autoriser.
Le même jour, à Limoges, ce sont les chasseurs qui manifestaient pour défendre cette chasse. Ils étaient nombreux, et pour la deuxième année consécutive, Vakita était sur place pour vous montrer l’ambiance…
Comme en 2023, c’est une pluie de victoires en justice pour les blaireaux ! Depuis l’ouverture des périodes complémentaires de vénerie sous terre le 15 mai, nos recours ont permis
Dans le Cher, le Loir-et-Cher, l’Eure-et-Loir, le Loiret, l’Allier, le Finistère, la Corrèze, le Calvados, l’Aube ou encore en Charente-Maritime, les tribunaux se sont rangés du côté des animaux en
Alors que les blaireautins sortent à peine de leurs terriers et que les déterreurs s’apprêtent à entrer en action, nous renforçons plus que jamais la pression sur les préfets !
Alors, on s’est rendu sur place voir ce que les habitants en pensent. Le jeune chasseur vaut vraiment le coup ! 🤪😂 Le déterrage, c’est cette pratique barbare qui consiste
Hugo Clément fait le point sur la vénerie sous terre, cette pratique qui consiste à chasser en allant les déterrer des animaux, à l’aide de meutes de chiens. Sur radiofrance.fr
En 2023, les familles de blaireaux de l’Aube, de la Haute-Marne, de l’Aisne, des Ardennes et des Pyrénées-Atlantiques ont pu passer le printemps à l’abri des déterreurs. Seuls dans l’Aube