L’accumulation de pollution plastique dans l’environnement est un problème bien connu, mais en Andalousie une nouvelle menace écologique apparaît : les oiseaux jouent un rôle involontaire dans la dispersion de cette pollution dans les zones humides.
L’accumulation de pollution plastique dans l’environnement est un problème bien connu, mais en Andalousie une nouvelle menace écologique apparaît : les oiseaux jouent un rôle involontaire dans la dispersion de cette pollution dans les zones humides.
L’équivalent en plastique de presque trois morceaux de sucre pourrait ainsi être fatal à un macareux moine, aussi appelé perroquet de mer, oiseau emblématique de l’Atlantique nord, pointe-t-elle.
Jusqu’à 85% de la consommation mondiale d’anguille se fait en Asie de l’Est, et notamment au Japon, qui pour répondre à la demande importe massivement: 73% des 61.000 tonnes consommées dans le pays en 2024 venaient de l’étranger.
À Puerto Nariño, sur la partie colombienne du fleuve Amazone, la fondation Omacha est à l’œuvre. Elle se consacre à la conservation et l’exploitation durable des écosystèmes et des espèces. Ici, son équipe est composée entre autres de pêcheurs, de vétérinaires et de biologistes.
Les scientifiques se doutaient déjà que la pollution lumineuse, qui contamine 23 % de la surface terrestre, avait un effet sur les oiseaux.
Une étude portant sur cinq espèces australiennes communes, dont les kookaburras, les pies et les loriquets, a révélé qu’environ 6% des oiseaux présentaient les chromosomes d’un sexe mais les organes reproducteurs d’un autre.
La première semaine de négociations onusiennes à Genève n’a débouché sur aucun texte, les Etats continuant d’afficher des divisions profondes depuis le début des discussions démarrées il y a deux ans et demi, y compris sur l’objet et le champ d’application du futur traité.
Inès Léraud s’est installée en Bretagne en 2015 et y a mené un travail d’enquête minutieux, opiniâtre, sur l’agriculture et l’agroalimentaire breton.
Les sacs de polyéthylène sont l’un des matériaux les plus couramment utilisés au monde, au point que les déchets de sacs plastiques sont l’un des symboles marquants de l’impact de l’Homme sur son environnement.
Pour cette étude, les chercheurs ont analysé les besoins de six groupes d’espèces (oiseaux, deux groupes d’insectes, deux groupes de chauves-souris, amphibiens), dans la métropole montpelliéraine.