Le monde vient d’entrer « dans une nouvelle réalité ». Celle où de nombreuses composantes du système climatique menacent de basculer à tout moment vers un nouvel état qui ferait encourir « des risques catastrophiques à des milliards de personnes ».

Le monde vient d’entrer « dans une nouvelle réalité ». Celle où de nombreuses composantes du système climatique menacent de basculer à tout moment vers un nouvel état qui ferait encourir « des risques catastrophiques à des milliards de personnes ».
Les krills sont peut-être minuscules, mais ils sont l’une des forces les plus puissantes pour maintenir notre planète en vie. Voici pourquoi ils peuvent « sauver la planète » :
Ce concept de « limites planétaires » avait été défini en 2009 par une trentaine de chercheurs. A l’époque, ils estimaient que l’humanité avait « transgressé au moins trois limites planétaires ».
Le Jour du dépassement est établi par l’ONG Global Footprint Network et déterminé à partir de l’empreinte écologique de chaque pays. Il signifie que l’humanité, et plus précisément sa part la plus riche, vit « à crédit écologique » sur le dos de la planète.
Pourquoi l’être humain s’obstine à détruire la planète alors que nous savons pertinemment que nous fonçons dans le mur ? C’est l’objet d’étude du docteur en neuroscience et auteur Sébastien Bohler. Dans ces essais à succès, (Le Bug humain, Striatum…), ce dernier explore les mécanismes cérébraux qui nous conduisent à adopter des comportements destructeurs pour l’environnement, malgré la conscience croissante de l’urgence écologique.
Tu veux sauver la nature ? Commence par ne rien faire…