Mike Riddell, fondateur et ancien directeur général du parc Marineland estime que ce nouveau refus de voir partir les deux dernières orques Wikie (24 ans) et son fils Keijo (11 ans) est aussi une décision politique

Mike Riddell, fondateur et ancien directeur général du parc Marineland estime que ce nouveau refus de voir partir les deux dernières orques Wikie (24 ans) et son fils Keijo (11 ans) est aussi une décision politique
« La ministre demande à Parques Reunidos, le propriétaire de Marineland, de veiller à ce que les soins apportés aux animaux soient maintenus dans l’attente d’une future solution »
L’expertise, demandée par l’association One Voice, conclut que les animaux du zoo marin d’Antibes étaient aussi bien traités que possible. On fait le point sur ce nouvel élément dans le dossier Marineland
Dans un communiqué publié vendredi, l’association propose donc de reprendre à sa charge « le personnel nécessaire aux soins des 14 cétacés ainsi que les différents frais inhérents à leur présence dus les lieux ».
Une expertise sur la santé des orques, demandée par l’association One Voice, est toujours en attente.
Conférence de Presse du 13 février 2024 au Consulat Voltaire à Paris. Retour sur le sort des orques et des dauphins captifs du Marineland d Antibes, défis et solutions.
La ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, a annoncé vendredi 14 février 2025 son intention de proposer à ses homologues espagnol, italien et grec la création d’un sanctuaire marin européen
Il est déplorable que le gouvernement néglige ses responsabilités envers Wikie et Keijo, les deux dernières orques survivantes du Marineland d’Antibes, en refusant leur transfert vers un sanctuaire adapté à leurs besoins
Au-delà de ses refuges, l’association Agir pour la Vie Animale mène des actions à plus grande échelle pour lutter contre toutes les cruautés infligées aux animaux : la lutte contre l’expérimentation animale, les systèmes d’élevage intensif et d’abattage industriel ainsi que les euthanasies de convenance font partie de ses combats.
Moins médiatisés que les deux orques encore en captivité dans le parc désormais fermé, 4 000 animaux doivent trouver un refuge. Leur situation reste floue, alors que seules quelques solutions ont été trouvées.