La Fondation 30 Millions d’Amis dénonce une remise en cause inquiétante de cette disposition en vigueur depuis le 1er janvier 2024 et demande à nouveau à la ministre Annie Genevard d’appliquer la législation.
La Fondation 30 Millions d’Amis dénonce une remise en cause inquiétante de cette disposition en vigueur depuis le 1er janvier 2024 et demande à nouveau à la ministre Annie Genevard d’appliquer la législation.
Nous avons écrit à Monsieur le Maire de Songeons pour lui faire part de notre indignation et lui rappeler ses responsabilités en matière d’errance animale sur le territoire de sa commune.
Certaines associations de protection des animaux, comme l’Aspas et Ferus, avaient d’ailleurs appelé à s’opposer à ce projet de décret, pour protéger le loup.
Un an après l’entrée en vigueur de l’interdiction de vente de chiens et de chats dans les animaleries, l’interprétation de cette disposition législative continue d’alimenter les débats, notamment le volet « vente en ligne ».
Le texte met en place :
une fermeture de la zone des isobathes 100 à 500 mètres pendant six semaines consécutives entre mai et septembre ;
une fermeture complète du Golfe du Lion pendant quatre semaines consécutives entre mai et octobre.
Les détracteurs de ces canidés ne sont donc jamais rassasiés. Contre ce texte plus que permissif et flou au possible, nous venons de déposer, avec Animal Cross et AVES, un recours devant le Conseil d’État pour demander son annulation.
La version du projet d’arrêté ministériel prenant en compte les modifications à la suite de ces consultations est celle soumise à la consultation du public.
Malgré une majorité de votes en faveur de son maintien, c’est finalement la mairie qui a eu le dernier mot le 31 mars, en prenant un arrêté interdisant « la tradition du « cou de l’oie » avec le cadavre d’un animal. »
Quelques jours après nos victoires en justice, le préfet du Gers a retiré l’ensemble des arrêtés autorisant les abattages de renards. pour explorer leurs entrailles.
Les textes, publiés au Journal officiel, ont pour but de « protéger la faune sauvage » en complétant la « liste des espèces protégées de ces territoires », explique le ministère de la Transition écologique dans un communiqué.