Les menaces qui pèsent sur la biodiversité sont nombreuses, mais les personnes prêtes à la défendre le sont tout autant.

Les menaces qui pèsent sur la biodiversité sont nombreuses, mais les personnes prêtes à la défendre le sont tout autant.
La DEDA est proclamée à Paris ce 4 octobre, Journée mondiale des animaux, en présence de l’OABA.
Elle inspirera les législateurs pour une protection animale uniforme en Europe.
Nous détruisons les habitats.
Nous dépouillons les mers de la vie.
Nous étouffons l’eau avec du plastique.
Nous conduisons les espèces à l’extinction.
Nous prenons et prenons, en oubliant que nous faisons partie du même système fragile que nous brisons.
Le temps s’épuise.
Si l’intelligence signifie quelque chose, cela signifie sûrement apprendre à vivre avec, et non contre, la Terre qui nous soutient.
L’affiche « Les vachettes en folie », nous présente un paysan d’humeur folâtre, tout sourire, chapeau de paille et tenue de couleur verte, courant, visiblement en compétition, légèrement décalé, avec une vache au regard hagard, dans un décor bucolique.
L’affaire révulse : un élevage hébergeant des animaux dans des conditions extrêmes a été découvert. Les bêtes y vivaient dans l’insalubrité la plus totale, sans soins ni cadre adapté. Face à cette situation intolérable, la justice a tranché avec sévérité.
Vingt minutes, pas une de plus ! C’est le délai octroyé par la SNCF pour sauver la vie d’un animal si celui-ci se trouve sur les voies. Une annonce faite par la compagnie ferroviaire ce 16 mai 2025, après plus deux ans de délibérations.
Pourtant, dix ans après cette réforme, la réalité juridique des animaux reste en grande partie inchangée, laissant place à de nombreuses questions sur la portée réelle de cette évolution législative.
Dès l’obtention de son diplôme, Bryony a quitté l’Angleterre pour se rendre à Madagascar, soit à plus de 9000 kilomètres de chez elle. Son projet a débuté sur l’île de Nosy Be, aux côtés de l’association TSAP Travel.
Cette exposition est « une confrontation avec la réalité sanglante du Danemark », explique l’artiste sur Instagram. « Chaque jour, 20.400 porcelets meurent dans les étables avant même d’atteindre la chaîne d’abattage », écrit-il.