Des plages où l’on retrouve des dizaines de cadavres. Des autopsies montrent l’horreur : asphyxie, traces de cerclage, poumons hémorragiques, 85 % des dauphins autopsiés ont été tués par des filets.
Des plages où l’on retrouve des dizaines de cadavres. Des autopsies montrent l’horreur : asphyxie, traces de cerclage, poumons hémorragiques, 85 % des dauphins autopsiés ont été tués par des filets.
Une lueur d’espoir dans un tableau toujours bien sombre. La biodiversité poursuit sa chute en France, à cause de la dégradation des écosystèmes, alerte le WWF France dans un rapport publié mardi 9 décembre.
La politique anti-loup du gouvernement s’apprête à franchir une nouvelle étape gravissime. Publié le 24 septembre, un projet de décret vise en effet à modifier le code de l’environnement pour préparer le déclassement du grand prédateur en France, prévu pour le 1er janvier 2026.
Sur la base d’images obtenues en 2020 et 2025 lors d’activités ouvertes sur réservation, QUATRE PATTES révèle qu’un ours continue de performer lors des séances photos dans un établissement privé situé en France, au cours desquelles il est amené à poser aux côtés des visiteurs et à se laisser caresser et nourrir, sans dispositif de sécurité.
Le statut d’espèce protégée, inscrit dans la loi du 10 juillet 1976 relative à la protection de la nature, est considéré aujourd’hui comme un des outils du droit de l’environnement les plus efficaces pour atténuer certaines pressions sur la biodiversité.
L’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) a refusé l’asile politique à Paul Watson, fondateur de Sea Shepherd, estimant que ses craintes de persécution sont infondées.
Pour rappel, le déclassement du loup s’accompagne de l’obligation pour les États de garantir la viabilité de l’espèce, et que les possibles mesures de « gestion » prises par les États restent compatibles avec le maintien de la population dans un état de conservation favorable.
Depuis le 28 décembre 2023, la situation a encore empiré : le sanglier est devenu chassable toute l’année, sans aucun répit, par simple décision administrative
Pourtant, dix ans après cette réforme, la réalité juridique des animaux reste en grande partie inchangée, laissant place à de nombreuses questions sur la portée réelle de cette évolution législative.
Grâce à votre soutien, 2024 a été une année monumentale pour les droits des animaux. Ensemble, nous avons pris des mesures audacieuses pour lutter contre le spécisme et nous avons souligné que tous les animaux – qu’il s’agisse de poissons, de félins, de crocodiles ou de vaches – méritent respect et compassion.
Découvrez les actions efficaces que nous avons menées pour les droits des animaux en France et dans le monde entier.