Dans les eaux du Putumayo, fleuve qui traverse la Colombie, l’Équateur, le Pérou et le Brésil, une équipe de scientifiques a capturé une espèce inédite de poisson baptisée « Priocharax rex »
Dans les eaux du Putumayo, fleuve qui traverse la Colombie, l’Équateur, le Pérou et le Brésil, une équipe de scientifiques a capturé une espèce inédite de poisson baptisée « Priocharax rex »
Cette découverte fortuite, effectuée par Yoshiki Ochiai de l’Université de Tohoku, marque une avancée notable en biologie marine. L’organisme, initialement confondu avec une méduse, s’est avéré appartenir au genre des physalies, des créatures souvent redoutées pour leur venin.
“C’est nous qui avons découvert les animaux morts”, témoigne Christian Tessier, directeur de l’association Vautours en Baronnies.
Le bien-être animal prend au sérieux le fait que les animaux sont des êtres sensibles et moralement pertinents en tant qu’individus.
Elle protège des êtres vivants concrets, et non des catégories abstraites telles que « l’espèce ».
Les scientifiques spécialistes de la question estiment que l’identification de ces millions d’espèces inconnues pourrait permettre de mieux comprendre les fonctionnements des écosystèmes, mais aussi de prévenir de futures pandémies.
Plus que des inquiétudes, Philippe Garcia confie aujourd’hui son désarroi. “Le biotope est déjà complètement perturbé”, assène le président de l’association Défense des milieux aquatiques.
Les oiseaux ont été transportés par camion, dans des caisses en bois, du parc Patagonia, dans la province argentine de Santa Cruz, vers un parc chilien, dans la région d’Aysen, à environ 1.000 km au sud de Santiago
En réalisant un inventaire des espèces vivant près des sources hydrothermales au large de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, les chercheurs se sont rendu compte que leurs aires de distribution sont bien plus restreintes qu’ils ne le pensaient
Alors que les regards se tournent naturellement vers les conséquences humaines du cyclone Chido à Mayotte, il est crucial de ne pas négliger les dramatiques répercussions sur les animaux issus de la faune locale, notamment les makis, ces primates emblématiques de l’île.
Ainsi, l’étude a placé trois espèces largement trafiquées par les humains. Il s’agit des rhinocéros (29%), des pangolins (28%) et des éléphants (15%). À elles trois, ces espèces représentent 72%