Après plusieurs mois de recherches, le documentariste Maxime Carsel dresse un constat qui risque de vous couper l’appétit dans Un poison nommé saumon, enquête sur une industrie dévastatrice (éd. du Rocher), sorti début octobre.
Après plusieurs mois de recherches, le documentariste Maxime Carsel dresse un constat qui risque de vous couper l’appétit dans Un poison nommé saumon, enquête sur une industrie dévastatrice (éd. du Rocher), sorti début octobre.
Le programme d’Aquafrais est simple: il s’agit de supprimer certaines de ses fermes de petite taille, au Cap d’Antibes et à Théoule-sur-Mer, et d’ajouter à son activité un nouvel élevage de bars et de daurades, qui fera pour sa part pas moins de 24000 mètres carrés, soit l’équivalent de la superficie de trois terrains de football.
Don Staniford est un activiste britannique qui dénonce les dérives de l’industrie du saumon, notamment en Écosse. Depuis 2018, il se rend en kayak jusqu’à des fermes à saumons, filmant à l’intérieur des enclos pour documenter ce qu’il dit être des mauvais traitements. Les exploitants des fermes tentent de lui interdire l’accès à leurs sites, mais Don Staniford reste déterminé à poursuivre son combat et exhorte les consommateurs à rejoindre sa cause.
« Ne laissons pas les fermes-usines de saumons s’installer en France. » Dans une campagne et une pétition lancées mardi 3 avril, l’ONG de protection des animaux de ferme Welfarm réclame l’arrêt des trois projets d’élevage intensif