Torturées, le mot n’est pas trop fort : c’est à coups de fouet et de chocs électriques qu’on force les juments à entrer dans des enclos de contention ; à coups de bâton de bois qu’on les force à se tenir tranquilles pendant qu’on les saigne.

Torturées, le mot n’est pas trop fort : c’est à coups de fouet et de chocs électriques qu’on force les juments à entrer dans des enclos de contention ; à coups de bâton de bois qu’on les force à se tenir tranquilles pendant qu’on les saigne.
« On ne veut plus voir au niveau du spectacle des gars qui tapent comme des sourds sur les chevaux en fin de course »
Ces actes ne doivent en aucun cas rester impunis. Derrière chaque affaire de maltraitance, il y a une souffrance silencieuse qui doit être révélée et combattue. Les responsables doivent rendre des comptes !
Savez-vous que chaque année, 63% de la viande chevaline importée par l’Union européenne vient d’Argentine, un pays où il n’existe ni filière d’élevage ni traçabilité ? Les vols, la maltraitance caractérisée, les conditions de transport abominables et les abattoirs aux mauvaises pratiques y sont donc légion.
Littéralement à quelques heures de la mort de faim, merci pour ce que vous faites pour tout ces animaux, on vous remerciera jamais assez
Cette année, nous pouvons saluer plusieurs avancées notoires pour la protection des chevaux.