« La justice offre un répit aux bécassines françaises », a estimé la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) dans un communiqué.

« La justice offre un répit aux bécassines françaises », a estimé la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) dans un communiqué.
Jeudi 21 août 2025, 6 heures du matin. Nous sommes une poignée de militants et naturalistes à nous être donné rendez-vous en plein cœur de la Réserve naturelle des Ramières, grande zone humide de 300 hectares traversée de bout en bout par la rivière Drôme.
En quelques jours, près de 17 000 hectares de végétation sont partis en fumée à cause d’un incendie gigantesque. Cet incendie est le plus grave survenu dans le pourtour méditerranéen français depuis cinquante ans.
En 40 ans, 60% des animaux sauvages ont disparu selon un rapport WWF. C’est le cas du rhinocéros noir d’Afrique de l’Ouest, du dauphin d’eau douce de Chine ou encore de la grenouille Taughie. Le requin est lui aussi fortement menacé, victime de sa réputation de grand prédateur et surtout du trafic grandissant de ses ailerons en Amérique du Sud et en Espagne.
L’IG Wild beim Wild (Union pour la conservation de la faune sauvage) souligne l’idée reçue selon laquelle manger des animaux sauvages serait plus humain que consommer de la viande provenant d’élevages industriels, car de nombreux animaux souffrent longtemps après avoir été abattus.
Une forte mobilisation pourrait contraindre le gouvernement à revoir sa copie avant de publier l’arrêté, et le cas échéant servira lors des recours juridiques que ne manquera pas de déposer la LPO devant le Conseil d’État.
quel est le point commun entre le canard siffleur, le canard souchet ou encore le fuligule milouin ? Tous trois sont des oiseaux d’eau migrateurs menacés, dont les populations sont en déclin en Europe.
Il était blessé et à l’agonie. Mais il faudrait environ 10 heures avant qu’il ne prenne son dernier souffle.
Sa mort a déclenché un tollé mondial contre la chasse aux trophées. Pourtant, d’innombrables animaux continuent de mourir pour le « sport ».
Dix ans plus tard, nous appelons le gouvernement britannique à agir.
Combien d’animaux encore majestueux doivent souffrir pour devenir des accessoires décoratifs ? Il est temps pour le gouvernement britannique d’interdire l’importation de trophées de chasse une fois pour toutes.
Parce que ce ne sont pas des trophées. Ce sont des vies.
Ce sanctuaire abrite certaines des espèces de grenouilles les plus petites et les plus inhabituelles du globe.
A Senlis, les veneurs modernes veulent nous faire croire à une tradition royale. En mairie, les chasseurs veulent faire croire à une tradition française issue d’un héritage de la révolution. Dans leur rhétorique sont oubliées les sanctions traditionnelles et ancestrales !