Or, il faut savoir que d’une manière générale, la région est particulièrement vulnérable au réchauffement climatique, une tendance qui ne semble d’ailleurs pas s’essouffler.
Or, il faut savoir que d’une manière générale, la région est particulièrement vulnérable au réchauffement climatique, une tendance qui ne semble d’ailleurs pas s’essouffler.
Les chiffres font froid dans le dos. Le Japon vient de vivre un mois d’octobre tristement historique : sept personnes ont été tuées dans des attaques d’ours dans le pays. Au total, 88 agressions ont été recensées dans l’archipel en octobre.
Même si les données parfois fragmentaires rendent les comparaisons difficiles, le Japon a été parmi les pays du monde les plus touchés par des attaques mortelles ces dernières années.
Une équipe internationale de quelque 160 scientifiques s’est penchée sur l’état de santé de la planète en scrutant des « points de basculement » potentiels qui pousseraient ses écosystèmes au bord du gouffre.
Le monde vient d’entrer « dans une nouvelle réalité ». Celle où de nombreuses composantes du système climatique menacent de basculer à tout moment vers un nouvel état qui ferait encourir « des risques catastrophiques à des milliards de personnes ».
Et cela n’est pas sans conséquence, sur le réchauffement climatique, mais aussi pour certaines espèces. C’est le cas des papillons qui, à cause de ça, perdent leurs couleurs.
« C’est la plus grande arnaque jamais menée contre le monde », a déclaré le président américain mardi à l’ONU. Les prévisions climatiques viennent de « gens stupides qui ont fait dépenser des fortunes à leurs pays ».
Ces résultats suggèrent que le changement climatique menace d’ores et déjà grandement les populations d’oiseaux vivant dans ces régions, même en l’absence d’autres pressions humaines (déforestation, artificialisation des terres…).
Ces « bibions », ou « mouches de la Saint-Marc », volent le plus souvent en couple, d’où leur surnom de « lovebugs » (« insectes d’amour » en anglais), et colonisent le pays plusieurs semaines par an.
Pour combien de temps encore ? L’éponge va-t-elle arriver à saturation ? À quelle vitesse ? Dans quelle proportion et avec quelles conséquences ? Ces questions obsèdent bon nombre de climatologues et océanographes, encore incapables d’y apporter des réponses satisfaisantes.