Face à la recrudescence des abandons, la Fondation Brigitte Bardot lance ce lundi 22 septembre une campagne nationale pour sensibiliser à l’adoption responsable.
TV, presse, mobilier urbain, cette campagne se déploie à travers de nombreux support. Retrouvez nos visuels dans le métro parisien, sur les panneaux parisiens, mais aussi sur nos réseaux sociaux.
À Paris, le 18 septembre 2025. La Fondation Affinity et La SPA dévoilent une étude inédite par son ampleur, sa méthodologie et sa segmentation pour mieux comprendre les causes sous-jacentes à l’abandon et effectuer un état des lieux sur les conditions d’accueil.
Après avoir sauvé plus de 100 000 poules en les faisant adopter, l’association Champs libres Aux Poules (CLAP) veut obtenir d’aussi bons résultats pour… des oies et des jars !
Afin d’éviter l’abattoir à des poules pondeuses, Christophe Oury de la ferme des Haules au Val-Doré (Orvaux, dans l’Eure) propose de les adopter pour la modique somme de 4 €. Cette action permet de profiter d’œufs frais tout en soutenant une agriculture respectueuse de l’environnement.
À 18 mois, l’industrie décide qu’elles ne servent plus. Elles partent à l’abattoir… alors que leur espérance de vie est d’une dizaine d’années. Leurs corps, usés jusqu’à la corde pour pondre un œuf par jour, ne sont que des outils de production. Aucune empathie. Juste du rendement.
Chaque année, les abandons s’intensifient à l’approche de l’été et les places ne sont pas extensibles dans nos refuges. Un matin, au bord de la route, nous avons trouvé 12 chiots dans un carton en plein soleil. Nous les avons retrouvés sans leur mère et non sevrés.
Aristo a 13 ans. Il en a passé 12 au refuge, à regarder les autres partir, à espérer, à attendre. Cet amour de braque a été présenté des dizaines de fois à l’adoption. Nous avons lancé des appels, des SOS…
Plongez au cœur du quotidien du refuge de La Tuilerie. Suivez Floria, Mylène et Arnaud, soigneurs animaliers passionnés, qui consacrent leur journée à l’éducation, au bien-être et à la réhabilitation de leurs pensionnaires à quatre pattes.
Pour beaucoup, le rêve félin vire en cauchemar quand la maladie, invisible et souvent sournoise, s’invite dès l’arrivée à la maison.
