Dans le cadre du projet Emergent’Sea, les scientifiques ont analysé plus de 11.300 résultats issus de prélèvements, réalisés entre 2021 et 2023, de la Baie de Somme à la Corse, dans des mollusques (huîtres, moules) ou dans l’eau de mer.

Dans le cadre du projet Emergent’Sea, les scientifiques ont analysé plus de 11.300 résultats issus de prélèvements, réalisés entre 2021 et 2023, de la Baie de Somme à la Corse, dans des mollusques (huîtres, moules) ou dans l’eau de mer.
Cependant, en dépit de l’urgence invoquée pour justifier ce classement ESOD et ces abattages massifs, l’absence flagrante de deux éléments fondamentaux rend ce projet non seulement disproportionné, mais potentiellement écologiquement irresponsable : l’absence d’études scientifiques sérieuses et l’ignorance totale du rôle de la prédation naturelle par le loup.
Les menaces qui pèsent sur la biodiversité sont nombreuses, mais les personnes prêtes à la défendre le sont tout autant.
Ce 5ème épisode “Pour que Nature vive” accueille Nathalie Machon, professeure d’écologie urbaine et responsable scientifique du programme de sciences participatives “Sauvages de ma rue”.
Pilotée par l’Office français de la biodiversité (OFB), Migralion s’est intéressée à cet espace maritime stratégique de l’avifaune, fréquenté ou ponctuellement survolé par des millions d’individus appartenant à de nombreuses espèces d’oiseaux, mais sur laquelle on manque encore de connaissances.
On continue, ensemble, notre combat pour sauver davantage de forêt, avec le début de la création d’une nouvelle réserve, et le lancement du “Grand Dulan”.
Depuis une dizaine d’années, l’écologie de la peur s’intéresse à un aspect souvent négligé : l’effet de la simple présence d’un prédateur.
Une équipe internationale de quelque 160 scientifiques s’est penchée sur l’état de santé de la planète en scrutant des « points de basculement » potentiels qui pousseraient ses écosystèmes au bord du gouffre.
Il en ressort que les actions en faveur de l’environnement semblent perçues et acceptées comme relevant de l’intérêt général par une large partie de la population. Elle adhère à ces propositions à des degrés divers en fonction de la sensibilité politique des personnes.
L’organisation internationale de protection de la nature alerte sur un péril imminent de certaines espèces