Chaque année, des milliers d’animaux sont battus, abandonnés, torturés.
Et pourtant, même condamnés pour maltraitance, leurs tortionnaires peuvent à nouveau acquérir un animal… et recommencer. Cela doit changer !
Chaque année, des milliers d’animaux sont battus, abandonnés, torturés.
Et pourtant, même condamnés pour maltraitance, leurs tortionnaires peuvent à nouveau acquérir un animal… et recommencer. Cela doit changer !
Il s’agissait probablement d’un animal ayant échappé à une propriété, où une personne l’avait recueilli temporairement avant qu’il ne se perde à nouveau.
« Nous ne pouvons que saluer cette décision qui montre la voie aux derniers pays européens qui s’obstinent à élever des animaux pour leur fourrure » a déclaré Reha Hutin, Présidente de la Fondation 30 Millions d’Amis.
On s’est infiltré dans un salon de vente d’animaux et on a filmé les pratiques de certains exposants.
Cette vidéo raconte comment l’insémination artificielle, la sélection génétique et la course à la performance ont transformé les vaches en machines à produire — jusqu’à créer un système complètement fou.
Ces dernières semaines, des vidéos diffusées par Futur Asso, en collaboration avec Gardiens des Félins, ont révélé l’ampleur de ces atrocités. Précédées par une enquête de Libération et plusieurs initiatives médiatiques en France et en Suisse, elles confirment le travail du collectif Feline Guardians : des réseaux de torture animale structurés, une violence extrême et une diffusion mondiale.
La législation européenne sur le bien-être animal n’a pas été révisée depuis plus de vingt ans , malgré de nombreuses preuves scientifiques démontrant que des millions d’animaux sont laissés sans protection.
Les salons du chiot suscitent de plus en plus d’oppositions, des pétitions en ligne en demandent l’interdiction.
Les organisations s’opposent à la reprise depuis exactement six mois du transport de très jeunes veaux par ferries depuis l’Irlande. Elles ont été reçues par le directeur général de l’entreprise.
« Éleveur : bourreau d’animaux. » « Abattoir : tueurs d’innocents. » Voilà les deux slogans scandés au mégaphone et affichés sur des banderoles de sept mètres de long par le Réseau Pythagore devant l’abattoir du Haut-Doubs, à Pontarlier, ce lundi matin.