Pour ce tout premier mois, j’ai choisi de soutenir Le relais des animaux 🐾
Une belle association qui se bat chaque jour pour offrir une seconde chance à ceux qui en ont le plus besoin ❤️
💛 50 % des bénéfices réalisés grâce à mes créations leur seront reversés à la fin du mois.
Vous avez jusqu’au 13 novembre pour soutenir cette association.
🌸 Des créations solidaires 🐾🐶🐱 envoie vinted (Noemie178)
💛 50% reversés aux associations
A aucun moment, la terrible souffrance du taureau et le stress extrême des chevaux ne sont évoqués ? C’est tout simplement scandaleux ! Cela porte un nom : un mensonge par omission délibéré.
Un cerf a été tué mercredi 1er octobre en forêt d’Orléans par un équipage de chasse à courre. Une pratique légale mais vivement critiquée par le mouvement AVA (Abolissons la Vénerie Aujourd’hui), opposé à cette tradition.
C’est une pratique ancienne que la France a conservée. Peu connue mais toujours pratiquée, la vénerie sous terre est une technique de chasse qui consiste à traquer les animaux sauvages réfugiés dans des galeries et des terriers.
Le paisible bain de boue d’un éléphant sauvage devient une crise de vie ou de mort lorsqu’il est piégé dans un puits de village. Pendant 17 minutes pleines de tension, les sauveteurs se battent contre le temps et le refus obstiné de l’animal de coopérer, utilisant des excavatrices pour tracer une voie d’évacuation à travers la boue perfide. Regardez la créature massive se tenir contre l’emprise de la gravité, aidée par une poussée de machine parfaitement chronométrée à 14h24 qui transforme la lutte en triomphe. Juste au moment où la liberté semble certaine, l’éléphant fait une pause – l’instinct prévaudra-t-il sur son étrange nouveau sanctuaire ?
La conscience animale est désormais une évidence scientifique… mais que faisons-nous de cette vérité ? Dans cette interview passionnante, Camille Brunel, écrivain et essayiste, explore les implications philosophiques, politiques et éthiques de cette prise de conscience collective. Du poulpe au cochon, de la science à la littérature, il nous pousse à affronter une question brûlante : comment transformer cette connaissance en changements concrets ?
« Cette mise à jour, qui arrive au bon moment, souligne l’incidence toujours plus grande qu’a l’activité humaine sur la nature et le climat, et les effets dévastateurs que cela provoque », a affirmé lors d’une conférence de presse la directrice générale de l’Union internationale pour la conservation de la nature, la Costaricaine Grethel Aguilar.
Le bien-être animal est un enjeu de société. Ces subventions traduisent notre volonté d’agir concrètement aux côtés des associations, sur le terrain, pour favoriser une meilleure cohabitation entre les humains et les animaux, partout en Polynésie française »
