En l’espace de 200 ans, l’Australie a vu quarante espèces de mammifères être complètement rayées de sa carte. Un triste record qui fait du pays l’un des pires au monde en matière de taux d’extinction d’espèces vivantes.
En l’espace de 200 ans, l’Australie a vu quarante espèces de mammifères être complètement rayées de sa carte. Un triste record qui fait du pays l’un des pires au monde en matière de taux d’extinction d’espèces vivantes.
Les études scientifiques, surtout anglo-saxonnes, s’accumulent et démontrent non seulement le plaisir que les chants d’oiseaux procurent, mais aussi leurs bienfaits thérapeutiques tant au plan mental que physique.
Au sommaire :
L’industrie laitière
Les rappels conso
Interview avec Karine du sanctuaire Phenixia
Recette
Cette vidéo souligne la brutalité de la pratique du « soring » (soulagement des chevaux), utilisée pour créer l’allure grotesque, artificielle et douloureuse du cheval de marche du Tennessee et des races apparentées.
Le texte met en place :
une fermeture de la zone des isobathes 100 à 500 mètres pendant six semaines consécutives entre mai et septembre ;
une fermeture complète du Golfe du Lion pendant quatre semaines consécutives entre mai et octobre.
Cela fait plusieurs années que la Direction Départementale des Protections des Populations (DDPP) me demandait de reprendre la gestion du refuge de Castillon.
Abeilles, papillons, oiseaux, fleurs, mais aussi, lézards, orvets ou encore hérissons… Votre jardin peut tous les accueillir, ou au moins, ne pas contribuer à les détruire. Mais que faut-il faire pour attirer toute cette vie sauvage indispensable à notre écosystème ?
Depuis le 28 décembre 2023, la situation a encore empiré : le sanglier est devenu chassable toute l’année, sans aucun répit, par simple décision administrative
À l’heure où Donald Trump dérégule l’extraction sous-marine, les Calédoniens ont fait le choix de préserver leur territoire en n’autorisant que les missions de recherches scientifiques non invasives.
Comment mieux prendre en compte le bien-être animal ? Cette question, sur laquelle le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire s’est penché en 2016, répond à une attente sociétale toujours plus forte.