Ressources, défense, abris, reproduction, territoire… Dans la nature, les raisons de se battre sont bien connues et ne manquent pas.
Ressources, défense, abris, reproduction, territoire… Dans la nature, les raisons de se battre sont bien connues et ne manquent pas.
Ça vous dit de manger du cœur de bananier ?
La nouvelle loi sur le bien-être animal freinera-t-elle le commerce illégal ?
Ce sont des images choquantes qui ont été filmées dans un parc safari pour éléphants dans le sud de l’Inde. On y découvre un pachyderme piétiner à mort son dresseur, après que celui-ci l’ait violemment battu avec une canne de bambou.
Cet incident n’a rien d’anecdotique. Il illustre au contraire une réalité banalisée : le recours encore courant à des équidés pour des trajets urbains, dans des conditions dangereuses pour leur intégrité physique.
Pendant des décennies, des milliers de lapins ont été utilisés chaque année à des fins de tests. Attachés, soumis à des injections dans l’oreille, leur température était relevée plusieurs fois sur une période prolongée.
Inès Léraud s’est installée en Bretagne en 2015 et y a mené un travail d’enquête minutieux, opiniâtre, sur l’agriculture et l’agroalimentaire breton.
Ici, à Allouville-Bellefosse, le CHENE (Centre d’Hébergement et d’Étude sur la Nature et l’Environnement) soigne, accueille, observe et défend la faune normande depuis plus de quarante ans.
Adopter un régime végan, ce n’est plus seulement une question d’éthique ou d’écologie.
« Si on ne trouve pas le matériel approprié, on doit bricoler avec ce que l’on a déjà, ou faire des modifications selon les spécifications nécessaires », explique la vétérinaire Siriporn Tippol.