Une nouvelle étude scientifique invite à repenser notre rapport au monde sauvage en rappelant un élément majeur : les loups sont indispensables à la pérennité des forêts, car ils régulent les populations de cervidés bien mieux que les humains.

Une nouvelle étude scientifique invite à repenser notre rapport au monde sauvage en rappelant un élément majeur : les loups sont indispensables à la pérennité des forêts, car ils régulent les populations de cervidés bien mieux que les humains.
Les prédateurs naturels comme les oiseaux, coléoptères et araignées représentent une alternative efficace à l’utilisation de pesticides dans les champs en réduisant les populations de nuisibles et en augmentant les