Sur des photos, on voit des tortues qui portent la blessure nette d’un impact de flèche de fusil harpon. Ces animaux sont strictement protégés en Polynésie depuis 1971. Pourtant, les braconniers les chassent encore pour consommer leur viande.

Sur des photos, on voit des tortues qui portent la blessure nette d’un impact de flèche de fusil harpon. Ces animaux sont strictement protégés en Polynésie depuis 1971. Pourtant, les braconniers les chassent encore pour consommer leur viande.
La compagnie de gendarmerie de Bayeux, l’Office français de la biodiversité (OFB) et la police municipale du Molay-Littry, ont travaillé de concert pour mettre hors d’état de nuire un duo de braconniers qui abattait du gros gibier en forêt domaniale de Cerisy, à une vingtaine de km au sud-ouest de Bayeux
Les 6 hommes soupçonnés de braconnage en Sologne et relaxés mercredi dernier à Châteauroux n’en ont peut-être pas fini avec la Justice.
C’est une histoire de braconnage d’une violence extrême que l’enquête ouverte par l’Office français de la biodiversité (OFB) en 2023 a permis de révéler. Nous nous sommes constitués partie civile et seront présents au tribunal judiciaire de Châteauroux le 30 avril 2025 à 13h30.
Il chassait ces animaux, une espèce protégée, avec ses chiens pour ensuite les enfermer dans des cages et les prendre en vidéo. Le jeune homme a affirmé au tribunal qu’il relâchait ensuite les hérissons.
La viande de tortue, revendue jusqu’à 60 euros le kilo, alimente un marché illégal qui ne faiblit pas, malgré les tentatives des autorités pour enrayer ce fléau.
Plusieurs espèces protégées d’oiseaux migrateurs, notamment de rapaces, passent en hiver par cette zone agricole, à la lisière de la bande de Gaza.
Pris les mains dans le panier. Ou plutôt dans les nasses. Ce mardi 11 mars 2025, des agents de l’Office français de la biodiversité (OFB) du Doubs ont interpellé un homme en flagrant délit de braconnage de grenouilles rousses, dans la Vallée de La Loue.
Ces pratiquants de la vénerie ont commis des actes d’une particulière gravité qui provoquent un tollé général et national.
La possession d’organes génitaux d’ours, en particulier l’os du pénis ou le baculum, est illégale en Colombie-Britannique, s’ils sont séparés de la peau.