« Le préfet de l’Aube a régularisé la situation de l’animal, à condition que les règles essentielles soient respectées, la détention d’un sanglier devant rester rare puisque sa place est dans la nature »

« Le préfet de l’Aube a régularisé la situation de l’animal, à condition que les règles essentielles soient respectées, la détention d’un sanglier devant rester rare puisque sa place est dans la nature »
Ce n’est pas tous les jours que des marins doivent sauver un sanglier en pleine mer, mais Gérard et son collègue ont agi sans hésiter, démontrant un profond respect pour la vie animale.
Ce couple était simplement parti profiter d’une journée tranquille, loin de toute zone de chasse. Mais leur balade a tourné à l’horreur lorsqu’un sanglier, apeuré, traqué par des chiens de chasse, les attaque violemment.
« Rillette », le sanglier apprivoisé, obtient un sursis et peut rester auprès de celle qui l’a recueilli
Et si on allait à l’essentiel plutôt que de se trouver des excuses ? Les chasseurs veulent nous faire croire qu’ils sont des héros, mais la réalité est toute autre : ils détruisent et perturbent totalement la faune sauvage !
À Chaource, dans l’Aube, une habitante a réussi à mobiliser 500 personnes. Il y a un an et demi, elle a recueilli un bébé sanglier mais pour des raisons de sécurité sanitaire la loi interdit de garder des animaux sauvages. La justice doit tenir une audience.
Quatre ans après la mort de Morgan Keane, tué par un chasseur dans son jardin, un sanglier a été abattu sur les mêmes lieux. Sa propriété est pourtant interdite à la chasse. Ses proches dénoncent le laxisme de l’État envers les chasseurs.
En entendant ces cris désespérés, on ne peut s’empêcher de ressentir l’angoisse de cet animal, un symbole des nombreuses vies brisées par la chasse.
Nous représentons l’association des petites loges et faisons appel à votre soutien pour éviter une détresse inacceptable à notre laie sanglier de Chaouce, mascotte détenue par notre adhérente, Elodie Cappé, dans une ferme équestre de 20 hectares.
Ce vendredi 26 juillet, la cour d’appel de Douai (Nord) a rendu son arrêt concernant « Toto le sanglier ». L’animal ne sera pas euthanasié, a-t-on appris auprès de l’avocat de l’association