Derrière cet effondrement massif des insectes, non pas une seule raison, mais de multiples raisons
Derrière cet effondrement massif des insectes, non pas une seule raison, mais de multiples raisons
Devant la vitre, à deux pas du public, une ourse se promène de long en large. Quelques mètres au-dessus d’elle, trois louves la regardent à peine.
Le Parti animaliste dénonce avec force ces revendications d’un autre temps, visant à légitimer et pérenniser une pratique violente, minoritaire, et de plus en plus rejetée par la société.
L’eau est foncée, parfois verte. L’association diffuse ces images avec une musique dramatique, accompagnés de ce commentaire : « Deux orques et seize dauphins [il y en a 12 en réalité, Ndlr] abandonnés à Marineland après sa fermeture (…) enfermés dans des bassins dégradés. »
En développant les espaces verts, les villes ont permis à certaines espèces de se refaire une place parmi nous. Le paradoxe, c’est que dans les campagnes où l’usage de pesticides perdure, de nombreuses espèces restent menacées de disparition.
À plus de 1000 mètres d’altitude sur le Causse Méjean troué de grès de calcaire comme un gruyère, Sylvère Petit nous invite dans les coulisses de son dernier film « Vivant parmi les vivants »
Berceau de la vie sur terre, l’océan recouvre 71 % de la surface de notre planète. Si nous voulons le protéger pour le bien de l’humanité, il est temps de mieux comprendre le fonctionnement de cet écosystème qui nous demeure encore trop souvent méconnu.
Depuis le 4 mai 2025, soit en moins de quinze jours, les douaniers français ont mené six opérations majeures dans le cadre de la lutte contre le trafic d’espèces protégées, aboutissant notamment à la saisie de treize animaux vivants sur le territoire métropolitain et ultra-marin.
Deux jours intenses de musique et d’engagement aux côtés de Sea Shepherd France, avec des artistes venus bénévolement soutenir la protection des océans.
Dans cette interview puissante et éclairante, Caroline du Saint, autrice et réalisatrice du documentaire L’Usine des animaux (Arte) et du livre Le Déni français, démonte méthodiquement les mécanismes qui empêchent de voir la réalité de l’élevage industriel en France. Ce grand mensonge, à base d’images rassurantes de vaches dans les prés et de récits de petites fermes familiales, est largement relayé par l’industrie, les politiques, la publicité… mais aussi par notre propre désir de croire que tout va bien.