Le 5 mai prochain, la justice rendra son verdict dans une affaire qui soulève une vague d’indignation : Diane, présidente de l’association Cœur sur Pattes, risque une condamnation pour avoir sauvé Riya, une chienne en détresse absolue. Accusée de vol, elle est aujourd’hui poursuivie alors que les véritables responsables des souffrances de Riya restent impunis.
Une intervention pour sauver une vie
Lorsque Diane et son association découvrent Riya, la chienne est dans un état inimaginable : amaigrie, couverte de plaies, plongée dans une souffrance insoutenable. Immédiatement, une prise en charge vétérinaire est décidée, et les autorités sont informées. Son propriétaire, contacté, ne semble même pas au courant de son absence et ne manifeste aucune inquiétude pour elle.
Malgré ces éléments, la justice décide aujourd’hui de s’attaquer à celle qui a sauvé une vie plutôt qu’à ceux qui l’ont laissée souffrir.
Une procédure judiciaire qui interroge
Pourquoi les véritables coupables ne sont-ils pas inquiétés ? Pourquoi s’acharner sur une femme dont le seul tort est d’avoir refusé de détourner le regard face à la souffrance d’un animal ? Ce procès met en lumière un grave dysfonctionnement dans la protection animale en France. Au lieu de soutenir ceux qui sauvent, la justice les punit.
Une mobilisation massive pour Diane et Riya
Depuis l’annonce du procès, la mobilisation est immense : plus de 53 000 signatures ont été recueillies sur une pétition demandant justice pour Riya. Des milliers de personnes expriment leur indignation sur les réseaux sociaux, partageant massivement le hashtag #JusticePourRiya.
Nous refusons de nous taire face à cette injustice. Nous appelons à la mobilisation générale pour que ce procès devienne un symbole du combat pour la protection animale.
📢 Que pouvez-vous faire ?
✔️ Signez et partagez la pétition : Lien de la pétition
✔️ Utilisez le hashtag #JusticePourRiya sur les réseaux sociaux
✔️ Interpellez les médias et personnalités publiques pour qu’ils se saisissent de cette affaire
Le 5 mai, une décision sera rendue. Mais une chose est sûre : notre engagement, lui, ne s’arrêtera pas.