Les détracteurs de ces canidés ne sont donc jamais rassasiés. Contre ce texte plus que permissif et flou au possible, nous venons de déposer, avec Animal Cross et AVES, un recours devant le Conseil d’État pour demander son annulation.

Les détracteurs de ces canidés ne sont donc jamais rassasiés. Contre ce texte plus que permissif et flou au possible, nous venons de déposer, avec Animal Cross et AVES, un recours devant le Conseil d’État pour demander son annulation.
La version du projet d’arrêté ministériel prenant en compte les modifications à la suite de ces consultations est celle soumise à la consultation du public.
Malgré une majorité de votes en faveur de son maintien, c’est finalement la mairie qui a eu le dernier mot le 31 mars, en prenant un arrêté interdisant « la tradition du « cou de l’oie » avec le cadavre d’un animal. »
Quelques jours après nos victoires en justice, le préfet du Gers a retiré l’ensemble des arrêtés autorisant les abattages de renards. pour explorer leurs entrailles.
Les textes, publiés au Journal officiel, ont pour but de « protéger la faune sauvage » en complétant la « liste des espèces protégées de ces territoires », explique le ministère de la Transition écologique dans un communiqué.
Les préfets se passent le mot. Après ceux d’Indre-et-Loire et de l’Ain, c’est au tour de ceux de Haute-Saône et de Meurthe-et-Moselle de déléguer aux lieutenants de louveterie leurs pouvoirs de vie ou de mort sur les animaux.
Le ministère de la transition écologique a ouvert une consultation publique sur un projet d’arrêté introduisant de nouvelles dispositions concernant les tirs du loup.