Dans la longue liste des dommages collatéraux de l’élevage, il ne faut pas manquer ceux auxquels personne ne peut penser sans en être spécifiquement informé : des juments sont torturées pour récolter des hormones qui vont servir ensuite aux éleveurs (européens en particulier) pour accroître encore leur pression esclavagiste sur les femelles reproductrices.
Dans le film mis gratuitement à disposition sans publicité (la démarche est à saluer et à remercier), Vincent Verzat dresse ainsi un parallèle avec son engagement pour préserver la nature et cette biodiversité qui nous entoure.
Nous sommes conscients de la gravité de la situation pour la conservation du hérisson et c’est la raison pour laquelle nous avons fait le choix de nous rapprocher du docteur Sophie Lund Rasmussen pour collaborer sur ce dossier.
Comme l’explique Annik Schnitzler, écologue spécialiste des forêts tempérées, « ce ne sont pas les chevreuils qui déboisent les forêts, ce sont les engins forestiers » . Les plantations artificielles, en monoculture, fragiles et peu résilientes, sont davantage affectées par l’abroutissement que les forêts naturelles diversifiées.
le fondateur de l’association demande l’interdiction totale de ces salons à l’échelle nationale. « Les animaux vont de main en main dans ces salons et c’est pour ça aussi qu’ils attrapent des maladies », selon lui. Il préconise plutôt d’adopter des animaux recueillis dans des refuges.
Les chasseurs justifient cette pratique au nom de la « régulation » des populations ou de la « protection des cultures ». Mais la réalité écologique est bien plus complexe.
Code Animal alerte les autorités et le public : il est temps d’agir pour garantir une fin de vie digne à ces trois éléphantes. Nous demandons l’organisation immédiate de leur mise à la retraite dans un sanctuaire.
Le label Territoires de faune sauvage est la déclinaison française du label européen Wildlife Estates, créé en 2005 par la fédération European Landowners Organization. Son objectif est de mettre en valeur les territoires qui réussissent à concilier activités socio-économiques et préservation de la biodiversité.
Nous cherchons un refuge ou un foyer bienveillant pour leur offrir la paix et la sécurité qu’elles méritent
Beaucoup disent être sensibles au “bien-être animal”… On entend souvent : “j’essaie de manger local”, “je privilégie les boucheries”, “je fais attention à ce que j’achète”.
Pourtant, environ 90 % des cochons en France vivent dans des élevages intensifs, enfermés entre 4 murs.
Quelque soit le type d’élevage, les animaux ne sont plus considérés comme des êtres sensibles, mais comme des produits : nés pour être engraissés, puis tués à environ 10 % de leur durée de vie naturelle.
Cette année en France, 1 milliard d’animaux seront élevés puis abattus pour la consommation.
Il est urgent de changer notre regard sur les êtres sensibles et de repenser notre rapport aux animaux.
