RAPHAËL GLUCKSMANN : « Il est impossible d’imposer une telle souffrance à un être sensible ! »

La Fondation 30 Millions d’Amis est au Parlement de Strasbourg pour rencontrer le député européen Raphaël Glucksmann. Fondateur de « Place Publique », il est reconnu pour son engagement en faveur de l’écologie, la protection des minorités et se distingue aussi comme une voix influente pour la cause animale.

Après American Psycho, Mary Harron revient dans un court métrage qui fait froid dans le dos

« Je les ai entendus dire que je ne ressens rien, mais c’est faux. Je ressens tout. » Voilà les mots glaçants d’une « victime d’expérimentation » dans un nouveau court métrage réalisé par la légende de l’horreur Mary Harron, qui a fait équipe avec PETA pour dénoncer la réalité effroyable des cruelles expérimentations sur les animaux en amont du 25ème anniversaire de son film culte American Psycho.

Derrière la consommation de la bile d’ours au Vietnam, la mécanique implacable de la pression sociale

Au Vietnam, la bile d’ours est l’un des produits illégaux issus de la nature les plus populaires. Une question simple se pose mais qui, pour le moment, n’obtenait pas de réponse claire : pourquoi un tel succès ? Qui alimente cette demande ? Trois chercheuses ont mené l’enquête directement à Hanoï, la capitale, et dans la province de Nghê An.

Images effrayantes d’une ferme d’élevage d’animaux à fourrure « certifiée » et « durable » #KissFurGoodbye

Ce clip vous fera froid dans le dos, mais il est crucial de dénoncer la cruauté envers les animaux inhérente à l’élevage de fourrure. Depuis la publication la semaine dernière de notre nouveau rapport appelant l’Australie à cesser de soutenir l’importation de fourrure dans notre pays, on nous a répété que la fourrure n’était « plus un problème ». Pourtant, ces images montrent la souffrance atroce que subissent les animaux dans les élevages de fourrure, où plus de 100 millions de personnes souffrent et meurent chaque année pour leur fourrure. L’Australie doit mettre fin à l’importation et à la vente de fourrure ; c’est le moins que nous puissions faire.