Avec votre aide, nous pouvons arrêter la fourrure à la source. L’industrie de la mode est en train de changer et il est temps de laisser la cruauté envers les animaux derrière elle. Rejoignez-nous pour construire un avenir enraciné dans la compassion, pas dans la fourrure.
Les scientifiques spécialistes de la question estiment que l’identification de ces millions d’espèces inconnues pourrait permettre de mieux comprendre les fonctionnements des écosystèmes, mais aussi de prévenir de futures pandémies.
Milton faisait partie de la centaine de chiens sauvés de négligence présumée chez un éleveur de bichons havanais du Maryland. Il semblait avoir presque abandonné jusqu’à ce que notre équipe de sauvetage animalier le retrouve. Maintenant, il est propre, soigné et en bonne voie pour vivre la vie qu’il mérite. C’est vraiment un chien différent !
En cause : l’acidification progressive des océans, causée par nos émissions galopantes de CO2. Même leur incroyable capacité à renouveler leurs dents « pourrait ne pas suffire à suivre le rythme des dommages », alertent les scientifiques.
La société protectrice des animaux (SPA) a eu un pic d’activité cet été. Le nombre d’animaux qu’elle a recueilli a augmenté de 14 % par rapport à l’an passé, au cours d’une saison qui a « cumulé des difficultés », dont le contexte économique et social tendu ou les conditions climatiques extrêmes.
Le rat noir, expliquent les partenaires du projet, menace les oiseaux marins par la prédation des œufs et des poussins, la perturbation des nichées et la dégradation des habitats.
Différentes espèces de poules sont proposées à la vente, toutes issues d’élevages professionnels bio et/ou plein air.
Cet été, ce ne sont pas moins d’une dizaine de milans noirs qui ont été récupérés dans les Hautes-Alpes par Aquila, le centre de soins de la faune sauvage. Fortement affaiblis par les épisodes de canicule, les oiseaux souffraient de déshydratation et de dénutrition.
Pourtant, les études sont formelles : avoir des animaux de compagnie booste l’épanouissement personnel, mais pas seulement.
Cette loi, connue pour régir la structure de nos mots, pourrait ne pas être une exclusivité humaine : de récents travaux montrent que les oiseaux suivent eux aussi cette règle, ouvrant une fenêtre fascinante sur les principes universels de communication.
