Parce que les animaux ne sont pas des marchandises, PAZ demande l’interdiction des salons animaliers.
Parce que les animaux ne sont pas des marchandises, PAZ demande l’interdiction des salons animaliers.
Chaque année, des milliers d’animaux sont battus, abandonnés, torturés.
Et pourtant, même condamnés pour maltraitance, leurs tortionnaires peuvent à nouveau acquérir un animal… et recommencer. Cela doit changer !
Le parc animalier Marineland d’Antibes, dans les Alpes-Maritimes, exhorte les pouvoirs publics à oeuvrer pour le transfert des derniers cétacés qu’il héberge, dans une lettre ouverte consultée mardi par l’AFP.
Pour le chasseur Matthieu Salvaudon, il existe des méthodes de gestion forestière qui peuvent éviter les tirs. « Il s’agit de ne pas reboiser certaines zones, de créer des microtrouées dans la forêt, favoriser des lisières où poussent des végétaux attractifs et créer des zones de prairies. »
Il s’agissait probablement d’un animal ayant échappé à une propriété, où une personne l’avait recueilli temporairement avant qu’il ne se perde à nouveau.
« Nous ne pouvons que saluer cette décision qui montre la voie aux derniers pays européens qui s’obstinent à élever des animaux pour leur fourrure » a déclaré Reha Hutin, Présidente de la Fondation 30 Millions d’Amis.
On s’est infiltré dans un salon de vente d’animaux et on a filmé les pratiques de certains exposants.
Cette vidéo raconte comment l’insémination artificielle, la sélection génétique et la course à la performance ont transformé les vaches en machines à produire — jusqu’à créer un système complètement fou.
Ces dernières semaines, des vidéos diffusées par Futur Asso, en collaboration avec Gardiens des Félins, ont révélé l’ampleur de ces atrocités. Précédées par une enquête de Libération et plusieurs initiatives médiatiques en France et en Suisse, elles confirment le travail du collectif Feline Guardians : des réseaux de torture animale structurés, une violence extrême et une diffusion mondiale.
La législation européenne sur le bien-être animal n’a pas été révisée depuis plus de vingt ans , malgré de nombreuses preuves scientifiques démontrant que des millions d’animaux sont laissés sans protection.