« En permettant d’abattre encore plus facilement les loups, les ministères remettent en cause la survie de l’espèce entière qui, rappelons-le, est toujours à ce jour strictement protégée », dénoncent les associations One Voice, Animal Cross et Aves. Celles-ci annoncent avoir déposé un recours devant le Conseil d’État contre l’arrêté du 21 février 2024 dernier qui fixe les nouvelles conditions permettant de déroger aux interdictions de destruction des loups.
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